3 question à
  1. – Supprimer les instances éloignées du citoyen (instance politique : le sénat ?) (instance consultative : le CESE, dont la vocation est censée de débattre des grands sujets de société et qui a, par exemple, refusé de débattre, en son temps, du projet de loi sur le mariage homosexuel, sujet de société s’il en est !)
    – Inviter le citoyen à s’intéresser au bien commun en lui donnant le gout de l’implication à des œuvres collectives (service civique, stages, volontariats, sans et avec incitations financières)
    – Pédagogie, pédagogie, pédagogie !

  2. 1/ Appliquer strictement le principe de subsidiarité
    Ce qui génère le sentiment de perte de maitrise de son propre avenir, c’est l’éloignement des centres de décision (qui par ailleurs sont parfois si loin qu’ils prennent des décisions inapplicables ou aberrantes au niveau du terrain)
    2/ Pratiquer une vraie transparence et une simplification
    Ex : fiscalité : affectation claire de chaque impôt « je paie pour et impôt pour tel service ou tel projet… »
    Exemple à l’intérieur de l’exemple : l’impôt sur le revenu va à la redistribution…

  3. Vote électronique
    service civique obligatoire pour tous avec « périodes » en cours de vie (cf Suisse) pour se mélanger et apprendre à connaitre d’autres milieux)
    paiement de l’impôt pour tous sur toute sorte de revenus (cf Pays bas), réduction des niches fiscales, revenu universel,

  4. Question 2 :
    Il faudrait que les représentants de la population ne perdent pas de vue les principes de la Constitution ainsi que la devise « Liberté égalité Fraternité ». Ils doivent être au service du plus grand nombre.
    Pour se sentir davantage partie prenante , un climat de confiance (évitant la polémique systématique) entre citoyens et élus doit être restauré afin que les débats puissent aboutir à des décisions qui servent le bien commun .